L’étude de l’audience du média courrier, BALmétrie*, le réaffirme : le courrier est toujours aussi efficace pour communiquer avec vos clients et prospects. Mieux, même quand ils utilisent d’autres canaux de communication, les consommateurs plébiscitent le format courrier. Retour sur les principales conclusions de l’étude.
Le courrier publicitaire comprend :
L’imprimé non-marchand comprend par exemple les journaux de quartier, de la mairie, du département, de la région, mais aussi des tracts associatifs.
Les courriers administratifs ou de gestion, eux, rassemblent les envois du Trésor public, de la CAF, mais aussi les factures, les relevés bancaires, etc.
Pour les Français, le courrier est un média de la vie courante. La preuve en chiffres :
Et chaque semaine, parmi eux :
C’est dire l’engouement des consommateurs pour ce média.
Le courrier publicitaire cumule les avantages :
Aller plus loin : « 5 bonnes raisons d’aimer le courrier publicitaire »
Ce qui explique que les Français soient beaucoup moins nombreux à installer un « Stop pub » sur leur boîte aux lettres qu’un Adblock (bloqueur de publicités) sur leur navigateur web.
Contrairement aux idées reçues, l’imprimé publicitaire est un média qui séduit tous les profils, y compris ceux auxquels vous n’auriez pas pensé spontanément : les digital natives, par exemple, en sont aussi de gros consommateurs.
En effet, l’étude montre que web et papier sont loin de s’opposer.
Ce qui en fait un canal incontournable pour de nombreux secteurs d’activité, e-commerçants inclus !
Si les adeptes des bons de réduction (76 % des lecteurs) apprécient particulièrement les imprimés publicitaires, les jeunes (48%) et les e-acheteurs (68%) en sont également friands, même si ça ne semble pas intuitif.
Ce qui ouvre de belles perspectives pour intégrer l’imprimé publicitaire à un mix media gagnant.
En savoir plus : « Toucher les jeunes : le courrier publicitaire in ou out ? »
L’imprimé publicitaire est apprécié par les gros consommateurs d’autres médias de masse : presse, radio, télévision. En effet, plus une personne consomme de médias (presse, TV ou radio), plus elle lit d’imprimés publicitaires.
En effet, la consommation de médias n’est pas sélective (choisir entre consommer de la télévision ou de l’imprimé publicitaire) mais cumulative (les consommateurs qui apprécient un média donné ont tendance à aussi davantage apprécier l’imprimé publicitaire).
Une bonne raison pour jouer la complémentarité des médias !
Aller plus loin : « Print vs web : qui offre le meilleur ciblage ? »
C’est la première fois que BALmétrie effectue cette mesure… et c’est une bonne nouvelle pour les retailers : pour attirer des clients, le papier est un media très efficace, à la fois en drive-to-store et en drive-to-web ! En effet, il a la capacité de faire venir massivement les clients à la fois en magasin et sur les sites e-commerce.
La vague 2018 de BALmétrie bat donc en brèche un autre préjugé tenace : l’imprimé publicitaire incite également les consommateurs à visiter un site web !
Aller plus loin : « Le courrier publicitaire envoie au tapis les idées reçues »
Non seulement l’imprimé publicitaire est apprécié de tous les profils, mais il enregistre des audiences conséquentes dans beaucoup de secteurs d’activité. Loin d’être l’apanage de la grande distribution, il contribue à dynamiser l’économie locale !
Du côté de la grande distribution, parmi les produits qui retiennent le plus l’attention des consommateurs d’imprimés publicitaires se trouvent les produits alimentaires, de loisir (jeux vidéo, DVD, jouets) et l’électro-ménager. Toutefois, ils n’ont pas le monopole de l’imprimé publicitaire réussi.
Mais d’autres secteurs tirent aussi leur épingle du jeu en termes d‘audience : ameublement, bricolage, sport, vêtements, mode et accessoires. En effet, en s’appuyant sur un ciblage adapté, commerçants et artisans locaux peuvent s’adresser aux habitants les plus réceptifs à leurs offres et se positionner comme acteurs dynamiques de l’économie locale.
Si l’imprimé publicitaire connaît indéniablement un franc succès, certains des formats qu’il peut prendre sont plus efficaces que d’autres.
En tête du palmarès, les formats de taille intermédiaire, qui cumulent les avantages :
Les dépliants et catalogues succincts (moins de 12 pages) attirent ainsi plus de la moitié des Français.
L’infographie complète à télécharger ici
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Si vous hésitiez encore à essayer la communication en boîte aux lettres, vous n’avez plus d’excuse ! Efficace auprès de tous les profils, pour des secteurs d’activité très larges, ce média est perçu comme moins intrusif que nombre de ses équivalents digitaux. Et a prouvé sa capacité à les compléter utilement. Contactez nos conseillers au 0825 123 123 (0,15€/min + coût appel) ou via ce formulaire sur notre site Internet, pour en savoir plus.
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